Dans les bureaux de «Libé», quasi-vides sous Covid
Mercredi, plusieurs heures durant, le photographe Denis Allard a erré dans les bureaux déserts de «Libération», appareil photo à la main. «Tout est figé, on a l'impression que les gens sont partis en catastrophe», raconte-t-il. Depuis le début de la crise, seules quatre personnes travaillent dans...